Voici quelques disques qui me sont parvenus, récemment parus ou à paraître au cours de ce mois de janvier 2019.
Pas de chroniques ici, juste une présentation avec un(des) lien(s) d’écoute quand ils existent. Pour les chroniques, on se rendra bien évidemment sur CultureJazz.fr.
Des disques mis en avant pour cette fin d’année 2018. On commencera par quelques disques que j’avais un peu laissés de côté, involontairement et qui n’ont pas eu l’occasion d’être chroniqués dans les pages de CultureJazz… Bien évidemment, on ne manquera pas de consulter « L’Appeal du disque » (nov. 2018#2, et déc. 2018), revue de disques sur CultureJazz.fr ainsi que les autres chroniques publiées dans ce magazine incontournable !
Un quintet polonais pour commencer, celui du contrebassiste Wojtek Mazolewski, grand admirateur de l’Art Ensemble de Chicago auquel il dédie un « bonus track« , musicien tatoué « jazz punk » (sur les doigts !). La musique de « Polka » est très accrochée à l’esprit du jazz et déborde d’une énergie qui va de paire avec une furieuse envie de jouer. Signe qui ne trompe pas, ce disque revient souvent à mes oreilles et mérite vraiment qu’on ne passe pas à côté ! C’est sur l’excellent label britannique WhirlWind Recordings (WR4725 – distribution Bertus). (Oskar Török : trompette / Marek Pospieszalski : saxophone ténor / Joanna Duda : piano / Wojtek Mazolewski : contrebasse / Qba Janicki ou Michał Bryndal : batterie) À écouter (et acquérir !) sur la page Bandcamp du label, ici !
De Pologne, on passe en Allemagne avec le quartet de la saxophoniste ténor Birgitta Flick pour un album intitulé « Color Studies » paru à la rentrée 2018 Sur le label Double Moon Records. Troisième album d’une musicienne qui évolue à grands pas depuis des débuts au disque en 2012. Il s’avère qu’elle a de plus en plus de belles choses à raconter dans une musique poétique, sensible qui témoigne d’une vraie inspiration et d’un bel esprit collectif. Des études colorées qui nous emmènent aussi chez J-S Bach et Béla Bartók. (Birgitta Flick : saxophone ténor / Andreas Schmidt : piano / James Banner : contrebasse / Max Andrzejewski : batterie) Double Moon Records (DMCHR 71353 – distribution [PIAS]) – birgittaflick.com
Hors des sentiers battus
Et une série d’autres disques de musiciens français et étrangers qui sortent un peu (voire carrément !) des sentiers battus.
Stroboscope – « The Bridge Sessions 09 » Écoute et achat possible sur la page Bandcamp du label. Enregistrée en avril 2014, une réunion « France-Chicago » exceptionnelle et rare comme toujours selon les principes fondateurs du projet The Bridge.De la musique improvisée de haut-vol ! Larry Ochs (saxophones ténor et sopranino) / Mars Williams (saxophones, jouets) / Julien Desprez (guitare électrique) / Mathieu Sourisseau (guitare basse acoustique) / Samuel Silvant (batterie).
Paru en mai 2018, ce disque présente l’équipe très créative du label Onze heures Onze que pilote Alexandre Herer pour le second volet de la musique de son Orchestra. Une vision claire d’un des possibles du jazz au XXIè siècle. Alexandre Herer (piano, Fender Rhodes) / Julien Pontvianne (saxophone ténor, clarinette) / Olivier Laisney (trompette) / Stéphane Payen (saxophone alto) / Denis Guivarc’h (saxophone alto) / Stephan Caracci (vibraphone, percussions) / Joachim Govin (contrebasse sur 1, 2, 4, 6) / Florent Nisse (contrebasse sur 3, 5, 7) / Thibault Perriard (batterie sur 1, 3, 5, 7) / Franck Vaillant (batterie sur 1, 2, 4, 6) / Johan Blanc (trombone sur 7) / Michel Massot (trombone sur 1, 2, 3, 4, 5, 6) / Magic Malik (flûte sur 3, 7) / One Take Autotune Proof (voix sur 7).
Ikui Doki –« Ikui Doki » – Ayler Records AYLCD158 – À écouter et acquérir sur la page Bandcamp d’Ayler Records, ici ! Un trio de chambre tout à fait insolite qui se balade dans des espaces improvisés très poétiques et se réfère souvent à la musique française du début du XXè siècle (Debussy, Satie, Poulenc…). Sophie Bernado (basson, voix) / Hugues Mayot (saxophone, clarinette) / Rafaelle Rinaudo (harpe, effet).
Enregistré en France en juin 2018.Sébastien Beliah – « Nocturnes » – Umlaut Records umfr-cd27
Un disque très « engagé » dirons-nous… Pas seulement parce qu’il s’agit d’un solo de contrebasse (pas si rare que ça dans le jazz) mais surtout parce que le propos du contrebassiste n’est pas de démontrer sa virtuosité et son potentiel technique mais bien de « faire » de la musique, de créer un univers sonore singulier… Sébastien Beliah (contrebasse solo).On peut écouter là (page Bandcamp du label) et regarder le très beau film vidéo qui met en scène une de ces deux nocturnes. (ci-dessous)
Au delà des phonèmes, c’est sur la syntaxe et une grammaire musicale originale que réfléchit la pianiste Maïlys Maronne. Un disque qui propose toute une suite d’études sur les articulations entre rythmes et phrases mélodiques dans des formes le plus souvent répétitives. On touche peut-être plus au formel qu’au sensible mais c’est digne d’intérêt, indiscutablement et le renfort de Magic Malik et Vincent Ségal viennent cautionner la qualité du projet.
Maïlys Maronne : composition, piano, moog, mélodica, voix / Reno Silva Couto : saxophone alto / Philippe Burneau : basse / Tilo Bertholo : batterie /+/ Magic Malik : flûte sur 2 / Vincent Ségal : violoncelle sur 5
Je vais revenir prochainement sur l’indispensable utilisation du logiciel de messagerie (ou « client » de messagerie) Thunderbird qui reste encore le plus sûr moyen de maîtriser sa correspondance par courriel.
Régler un problème propre à Gmail
Suite à un problème rencontré dans notre dernier atelier informatique, nous allons voir comment régler un problème propre au Gmail de Google, entreprise qui ne se gêne pas pour dévorer vos données personnelles mais fait tout pour entraver votre envie de liberté et d’autonomie !
Après avoir configuré un compte Gmail dans Thunderbird (menu Edition > Paramètres des comptes > Gestion des comptes > ajouter un compte de messagerie) une participante de l’atelier a vu que son compte Gmail était bloqué alors que l’installation et la récupération des messages dans Thunderbird s’était bien passée ! On retrouve là l’hyper-sécurisation de Google qui considère cette activité comme anormale !
Débloquer son compte Gmail… (et éviter le blocage)
Si vous effectuez ce transfert vers Thunderbird, prenez la précaution de paramétrer votre compte Gmail avant, via internet avec votre navigateur habituel (Firefox, Chrome/Chromium, Microsoft…).
Je vous invite à suivre la démarche proposée sur ce site mais attention, l’interface de Gmail a changé récemment (?? là, je n’en sais pas grand chose : je ne vais JAMAIS sur Gmail !!).
Dans votre page Gmail, cliquez sur la roue dentée (à droite, plutôt en haut) pour accéder aux paramètres. Cliquez sur « Transfert et POP/IMAP » et cochez les lignes entourées sur l’image ci-dessous pour « Activer POP » et « Activer IMAP« … N’oubliez pas d’enregistrer (bas de page) pour valider vos modifications !
Logiquement, vous pourrez utiliser Gmail avec Thunderbird sans que le grand GoGole ne vous importune à nouveau !
Si le navigateur internet Firefox a ses adeptes, il en va de même pour Chrome, le navigateur développé et maintenu par Google qui équipe non seulement des PC mais aussi les smartphones ou tablettes Android. Ce qui gêne les défenseurs des logiciels libres, c’est la présence envahissante, voire intrusive de Google dans ce navigateur… Pourtant, il est possible de surfer en toute tranquillité en utilisant Chromium, la racine libre de Chrome, quand on utilise des systèmes d’exploitation basés sur Linux (ici, Ubuntu et ses variantes ou Linux Mint…). Comme je l’ai fait récemment pour Firefox (lire ici…), je vais vous proposer quelques aides pour installer et configurer Chromium / Chrome.
Installer Chromium pour Linux :
Vous pouvez installer Chromium par le « Gestionnaire de logiciels » (le magasin en services libres !) seulement vous risquez de ne l’avoir qu’en anglais. Nous passerons donc par le Gestionnaire de paquets Synaptic que vous trouverez dans la section « Système » en passant par le menu des applications. Lancez « Synaptic » et tapez votre mot de passe dans la fenêtre qui s’affiche. Repérez « Rechercher » (loupe) dans les menus proposés en haut et tapez « chromium« . Dans la liste qui s’affiche ensuite, repérez chromium-browser et chromium-browser-l10n (le fichier de langues qui contient le fançais !). Cliquez dans la case devant chacun des 2 paquets et choisissez « sélectionner pour installation« . Cliquez sur « Appliquer » (bouton au-dessus). Si d’autres fenêtres s’affichent, validez (appliquer). L’installation s’effectue alors. Quand c’est terminé, fermez le gestionnaire de fichiers.
Lancer et configurer Chromium/Chrome :
En passant par le menu des applications/programmes, vous devez trouver désormais le navigateur web Chromium (catégorie « Internet »). Lancez-le ! Vous constaterez alors que Google se rappelle à votre bon souvenir, de manière plutôt insistante ! Si vous souhaitez être tranquille et ne pas être pisté en permanence, il faut aller faire un tour dans les paramètres. Repérez les trois points superposés au niveau de la barre d’adresse tout à droite. C’est le menu pour personnaliser et « contrôler » (!?) Chromium… Promenez-vous dans les différentes items de la liste qui s’affiche et allez dans… Paramètres !
Et là, je ne vais pas vous dire tout ce que vous avez à faire. C’est votre liberté que vous pouvez protéger ici, au niveau que vous souhaiterez. C’est aussi de votre vie privée et publique qu’il est alors question… Faut-il ou non synchroniser ses données avec un compte Google ? Pour moi, c’est non, mais ce n’est que mon choix ! Idem pour les mots de passe et les modes de paiement…
Bien entendu, vous pouvez choisir vos moteurs de recherche et… supprimer Google de la liste si vous le souhaitez. Si vous voulez choisir Qwant, par exemple, (cf. article sur Firefox), allez sur Qwant en tapant « qwant » dans la barre d’adresse. Quand vous l’avez, faites un clic droit après https://www.qwant.com/ dans la barre d’adresse et cliquez sur Modifier les moteurs de recherche. Vous revenez dans les paramètres de Chromium et notez bien que les trois points superposés en bout de ligne vous offrent 3 choix : utiliser par défaut, modifier et retirer de la liste. À vous d’agir !
Gérer les extensions : éviter les pubs etc.
Comme je vous l’écrivais à propos de Firefox, il est souvent plus agréable de naviguer sur internet dans être soumis aux clins d’œil insistants de la publicité. Vous pouvez, comme dans Firefox, installer l’extension uBlock pour être tranquille. On retourne dans « Personnaliser et contrôler Chromium » (3 points en haut à droite) puis « Plus d’outils » puis « Extensions« . Dans la bande bleue (« rechercher dans les extensions« ), taper « ublock« . On vous propose alors « uBlock Plus Adblocker » (et non uBlock Origin). Il fera l’affaire, alors activez-le !
Là encore, à vous d’explorer les extensions disponibles… Des recherches sur internet peuvent vous y aider mais attention : un navigateur trop chargé d’extensions et d’accessoires sera sans doute plus lent !
Il est toujours intéressant pour de nombreuses raisons de conserver la trace de ses parcours (marche, rando, vélo, course à pied…). Ça permet, par exemple, de les partager comme je le fais ici. Plusieurs types « d’outils » sont disponibles pour cela : montre GPS, le GPS de randonnée… et le smartphone qui vous accompagne peut-être au quotidien… La « Boutique Google« , le Play Store propose un certain nombre d’applications destinées à servir de GPS de randonnée. Problèmes : elles sont parfois payantes ou avec des fonctionnalités limitées en version gratuite et elles génèrent souvent des types de fichiers GPS (les traces de relevés) dans des formats peu compatibles.
Pour ma part, j’ai abandonné les solutions « Play Store » afin, vous le verrez, de réduire au maximum ma dépendance à Google (dont on peut légitimement se méfier !). J’utilise une montre GPS Garmin (modèle de base) le plus souvent mais aussi mon smartphone (si la batterie de la montre est déchargée par exemple !). J’ai fait d’une pierre deux coups en installant la remarquable application OsmAnd. Je me passe de Google Maps (Eh eh !) et d’une application supplémentaire pour les tracés GPS. OsmAnd remplit parfaitement cette double fonction ! (aide en ligne ici – choisir la langue adaptée !) En outre, OsmAnd télécharge des cartes de base directement sur le smartphone. On a droit à 10 cartes gratuites (grandes régions, pays…). C’est pratique pour les zones + ou – « blanches ». Par contre, il est préférable de disposer une carte de stockage MicroSD dans son smartphone et d’effectuer les téléchargements sur cette carte (voir les paramètres de OsmAnd).
Précision fondamentale : Osm désigne OpenStreetMap (lien Wikipedia), un projet qui a pour but de constituer une base de données géographiques du monde en version libre (www.openstreetmap.org). Une base cartographique gratuite et évolutive donc qui est de plus en plus utilisée par de nombreuses administrations et services à travers le Monde. And, c’est pour Android, vous l’aurez compris !!
Allons-y !
1- Si on peut télécharger OsmAnd depuis le « Play Store », il est préférable de le faire « dans le monde libre » en évitant le pistage de Google/Android. 2- Si ce n’est déjà fait, c’est l’occasion de télécharger et installer F-Droid, le magasin d’applications libres et OpenSource. Pour cela, basez vous sur le tutoriel proposé par le site Primokorn, c’est ici… 3- C’est fait ? Dans F-Droïd, recherchez OsmAnd après avoir cliqué sur le loupe en bas à droite. Quand vous l’avez, installez-le en ne vous préoccupant pas des mises en garde (certains des composants de l’application ne sont pas « libres »… Si vous n’êtes pas « intégriste », ne vous en préoccupez pas !).
Utiliser OsmAnd…
Lors de la première utilisation, il faudra télécharger la carte du Monde… Vous pourrez ensuite télécharger la(les) carte(s) de votre(vos) région(s) favorite(s). Pour ma part, j’ai évidemment la Normandie ! Disposer de ces cartes n’est pas indispensable pour les relevés. C’est mieux si on veut ensuite retrouver ces(des) itinéraires sur le smartphone, voire en télécharger pour les utiliser en guidage.
Relever / enregistrer un parcours :
Configuration pour l’enregistrement et enregistrement. Dans le menu en bas, à gauche, trouver le « gestionnaire de greffons« . Après « Cartes en ligne » (pour activer le téléchargement des cartes), activer « Enregistrement d’itinéraire » et regarder les paramètres (enregistrement). Désormais, un petit bouton GPX s’affiche en haut et à droite de l’écran-carte. Il suffira d’appuyer pour démarrer l’enregistrement et à nouveau pour l’arrêter. Un menu avec des options d’enregistrement de la trace obtenue s’afficher alors, en fin de parcours. Avantage très appréciable de OsmAnd, le format GPX est très largement reconnu par les applications et sites de mises en ligne de parcours, pour vous ou pour les partager (Visorando, VisuGPX, OpenRunner etc.). De plus, OsmAnd n’est pas trop gourmand en énergie. Un avantage par rapport à nombre d’applications qui déchargent vite les batteries.
Où et comment récupérer le fichier de trace ? Pour ma part, je conseille toujours de brancher son smartphone par câble microUSB-USB à son PC (ou Mac !) pour récupérer les données qu’il contient (ou en placer d’autres à l’intérieur du mobile). Attention, cocher l’option « transfert de fichiers par MTP » sur le mobile (par défaut, il se recharge simplement !). Quand on regarde sur son ordi le contenu du smartphone, les traces GPX se trouvent dans le dossier Android puis > Data > net.osmand > Files > Tracks > rec (le dossier import, juste à côté peut recevoir des traces GPX que vous avez téléchargées). Vous pouvez maintenant retrouver votre fichier de trace, ils sont nommés par dates. Il n’y a plus qu’à le copier et le coller… en lieu sûr selon l’usage que vous souhaiterez en faire. Ce fichier contient la trace, le dénivelé et bien des informations utiles (vitesse moyenne etc.).
NB : le site visugpx.com dispose d’une application en ligne permettant de modifier les fichiers GPX. On peut aussi y télécharger de nombreux itinéraires… mais ce n’est pas le seul site du genre, bien entendu !
Note du mai 2019 : Cet article aurait sans doute besoin d’une mise à jour. En attendant, consultez celui-ci qui propose des tutoriels sur l’emploi des fichiers GPX – lien envoyé par un lecteur vers son travail personnel. Merci !- – one-world-to-discover.com/tutoriels-osmand
Le navigateur internet Firefox est un outil remarquable développé par la fondation Mozilla. Il dispose de nombreux modules complémentaires et peut être paramétré afin de préserver sa vie privée et publique. En cela, il se distingue de Chrome (pourtant basé sur le logiciel Open Source Chromium) qui est passé très largement sous l’emprise de Google… Nous allons voir comment appliquer quelques réglages de base qui vous permettront de surfer sereinement et confortablement.
A- L’interface de Firefox
Après son installation (pour Linux, Windows ou Apple), Firefox se présente dans sa forme minimale. Grosso modo : les onglets de navigation qui permettent d’afficher toute une série de pages pour passer facilement de l’une à l’autre et la barre d’adresse (URL des sites ou recherches)… Il est assez confortable d’afficher la barre de menus et la barre personnelle. Pour cela, faire un clic droit dans l’espace vide à droite de l’onglet, au-dessus de la barre d’adresse. Cocher les deux cases barre de menus et barre personnelle. > Vous avez désormais une liste de 7 menus facilement accessibles (Fichier, édition, affichage etc.) ; > Une barre personnelle dans laquelle vous pourrez placer un lien-lanceur direct vers vos sites favoris (en y glissant-déposant l’adresse du site depuis la barre d’adresse juste au-dessus ou en utilisant les options du menu favoris en cliquant sur l’étoile au bout de la barre d’adresse).
B- Modifier les paramètres de Firefox
Cliquons maintenant sur le menu « Édition » (en haut) puis sur « Préférences ». 5 rubriques à gauche, de « Général » à « Sync ».
On les prend dans l’ordre…
Général :
Plusieurs options possibles : à vous de choisir de modifier ou laisser tel quel. Je conseille, dans la partie « Téléchargements« , de cocher la case « Toujours demander où enregistrer les fichiers« . Vous déciderez ainsi vous-même du dossier de téléchargement (musique dans « musique », photos dans « Images » etc.) à votre guise.
Accueil :
Dans « Nouvelles fenêtres et nouveaux onglets« , vous pouvez choisir « Adresses web personnalisées » si vous souhaitez afficher un site spécifique au démarrage. Pour ma part, j’ai choisi de placer un moteur de recherche qui protège la vie privée : Startpage. Copier-coller l’adresse ou la taper directement (StartPage.com). NB : Startpage dispose d’une fonction d’installation directe. On peut aussi faire confiance à DuckDuckGo pour les recherches Web (entre autres). Pour le reste dans cette partie, cochez ou décochez les items en fonction de vos choix/goûts…
Recherche :
Point important dans cette partie, le paramétrage du « Moteur de recherche par défaut« . C’est là que vous pouvez protéger votre vie privée et éviter le pistage (commercial, publicitaire en particulier) à partir de vos recherches. Dans « Moteurs de recherche accessibles en un clic« , on peut supprimer ou déplacer (avec la souris ou le pavé tactile) les moteurs proposés. Pour en supprimer, il suffit de sélectionner la ligne voulue et de cliquer sur « Supprimer » au bas du cadre.
Vie privée et sécurité :
Le contenu de la page et les différentes options sont expliqués clairement. À vous de choisir ce que vous voulez selon que vous souhaitez ou non protéger votre vie privée de manière stricte ou plus souple. Pour ma part, je bloque les traqueurs, je choisi toujours qu’on ne me piste pas, j’accepte les cookies et les données de sites mais… jusqu’à la fermeture de Firefox (dans « les conserver jusqu’à »). NB : dans ses dernières versions, Firefox active par défaut des options de sécurité de navigation.
Pour la suite de cette page, prenez chaque point et choisissez ce que vous souhaitez !
Sync, le compte Firefox :
Si vous avez plusieurs ordinateurs, vous pouvez créer un compte Firefox -qui sera hébergé sur les serveurs de la fondation Mozilla (lien Wikipedia). Cela vous permettra de retrouver la même présentation, les mêmes favoris, l’historique de recherches sur chacun de vos ordinateurs, voire sur votre smartphone si vous avez installé l’appli Firefox. Si cela vous intéresse, consultez cette rubrique et inscrivez-vous… Il y a une contradiction, peut-être, à utiliser ce service si on veut par ailleurs protéger sa vie privée. Il faut savoir que la fondation Mozilla n’est pas Google et qu’il s’agit d’une institution à but non-lucratif respectant le Manifeste Mozilla émis en 2007 par Mitchell Baker.
C- Ajouter quelques extensions
Vous voulez naviguer tranquillement sur internet, sans publicités et avec quelques outils commodes. C’est ici que ça se passe !
Cliquez sur le menu « Outils » (en haut de la page) puis sur « Modules complémentaires« … On entre dans le « Gestionnaire de modules ». Menu à gauche : cliquez sur « Extensions« .
Extensions :
On installe le bloqueur de publicités uBlock Origin. Pour cela taper « ublock » dans le formulaire de recherche en haut à droite. Valider (touche « entrée » ou la loupe du formulaire). Repérer uBlock Origin dans la liste proposée et cliquer ensuite sur installer. Accepter les éventuels message de sécurité. C’est fait ! Une icône uBlock (blason rouge) apparaît au bout de la barre d’adresse de Firefox, en haut à droite. Désormais, les pages consultées n’afficheront plus de publicités.
Pour les amateurs de vidéos en ligne, il existe le module Video DownloadHelper qui permet de télécharger facilement ces vidéos sur son ordinateur. Même installation que pour les précédentes extensions.
Si vous en voulez plus, consultez le catalogue, première rubrique du menu à gauche de la page !
D- Naviguer avec les onglets
C’est une des fonctions les plus pratiques des navigateurs internet actuels. Le système d’onglets permet d’ouvrir de nombreuses pages simultanément dans Firefox (ou Chrome, ou autre…) et de revenir de l’une à l’autre en cliquant sur les onglets, comme dans un classeur de tri. Je l’aborde rapidement. Cela mériterait probablement un article à part entière.
Exemple : Envie d’un dessert ? Je recherche dans le moteur de recherche « tarte pommes normande » (les mots de liaison sont inutiles !). De très nombreux sites traitent du sujet… Je fais un CLIC DROIT sur le premier et je choisis « ouvrir le lien dans un nouvel onglet » dans le menu qui s’affiche. Comme je veux comparer les recettes, je retourne à l’onglet de recherche (le plus à gauche). Nouveau clic droit sur le second site puis « ouvrir le lien dans un nouvel onglet« . Un nouvel onglet s’ajoute à gauche de ma page de recherche… Et ainsi de suite… jusqu’à ce que j’aie trouvé la recette idéale. Pour fermer les onglets, cliquer sur la croix à droite de chaque onglet.
À vous de jouer !
//Thierry Giard – 29 novembre 2018 – MAJ 10-11-2019//
Le tissage : un chouette activité pour les petits (et les grands). Voici un retour d’expérience et quelques pistes pour tisser avec les moyens du bord et occuper ainsi une journée maussade ou les longues soirées d’hiver avec des enfants… C’est toujours beaucoup mieux que de les coller passivement devant un écran, non ?
Une recherche sur le web (avec Qwant, un moteur français qui préserve votre vie privée !) et j’atterris sur le blog « Dans les boîtes d’Eliaure » qui propose de fabriquer un mini-métier à tisser en utilisant du carton ondulé. Tout à fait ce qu’il faut pour occuper les petites mains agiles…
On se félicite alors de ne pas tout mettre au recyclage. Il reste un carton d’emballage assez épais dans le garage. Vite fait, bien fait (?), le métier est réalisé !
Un conseil, suite à l’expérience, on peut doubler l’épaisseur des cales de surélévation du fil, c’est plus confortable. Ne pas hésiter à les faire assez larges afin de conserver une certaine longueur de fils de trame pour pouvoir les nouer à la fin !
C’est en tissant…
…Qu’on apprend à tisser et qu’on peut laisser libre cours à son imagination !
Première expérience :
Nous n’avions sous la main que des restes de laine. La trame est faite avec de la laine… et la chaîne aussi. Pas de navette adaptée pour le passage des fils alors une aiguille en plastique pour canevas (modèle enfant) fait l’affaire. Un peigne ordinaire à grosse denture servira à serrer les fils tissés au fur et à mesure. L’activité plaît tout de suite à Louisa (7 ans). Elle a plaisir à voir son tissage prendre forme et à jouer avec les couleurs de laine (par bandes). Au toucher, le textile réalisé est agréable, en plus !
1er essai : trame en laine et aiguille plastique pour servir de navette.
On le voit, l’inconvénient de la trame en laine, c’est son élasticité… Mais c’est un essai et ça plaît !
2ème expérience :
Un petit tour en ville pour quelques courses et on revient avec de la ficelle de cuisine (tout simplement) pour la trame et quelques pelotes de laine supplémentaires choisies par les tisserandes en herbe.
À droite, le premier métier réalisé (trame en laine) et à gauche, le second (trame en ficelle de cuisine…
Nous sommes aussi passés au rayon cuisine d’un supermarché pour dénicher des mini brochettes en bois. Après un petit coup de perceuse pour créer le trou de passage de la laine et la pointe coupée par sécurité, on obtient des navettes très pratiques. Comme le paquet en contient beaucoup, on peut se composer un assortiment de navettes de longueurs différentes. Nous voilà bien outillés pour aller plus loin dans le tissage !
Manon n’a pas encore 4 ans mais elle veut tisser aussi et s’en sort bien !
Après avoir vu des créations sur quelques sites présentant différentes techniques de tissage, Louisa se lance dans des jeux de couleurs avec discontinuité de la chaîne… Tout est possible désormais. L’imagination, la créativité et l’amélioration de la technique avec l’expérience vont faire le reste…
Depuis que j’ai lâchement laissé les commandes de CultureJazz.fr à l’ami Yves Dorison le 1er juin, le magazine continue sa belle vie et se renouvelle toujours. Le déménagement de Coutances à la métropole lyonnaise a été totalement indolore, invisible et même rafraîchissant. Pour exemple, ma « Pile de disques » mensuelle souvent sur-abondante est devenue « L’Appeal du disque » en subissant une cure d’amaigrissement revigorante autant que nécessaire ! (lire de dernier « Appeal » en date ici… – 17 novembre 2018, 13 chroniques…)
Jazz en bandes organisées
Ce mois-ci, j’ai (enfin) réussi à boucler ma revue de disques de grandes formations (de 8 à une vingtaine de musiciens). Cela m’a permis de reprendre une série démarrée en 2012 et mise en veille depuis : « Jazz en bandes organisées » ! En cliquant sur le logo, on accède à l’article publié le 12 novembre 2018 sur CultureJazz.fr…
Une belle série de disques dans cette revue. Il y est question de Tyshawn Sorey, Andy Emler, David Dominique, Trondheim Jazz Orchestra, Darrel Katz & JCA, Mark Masters, Lucas Pino, Big Heart Machine, Elliot Deutsch, Ayn Inserto, L’Orchestre du Lion, l’Ensemble BibendUum, The Amazing Keystone Big Band, Umlaut Big Band & BuJazzO. Six d’entre eux ont obtenu un OUI ! (le label qui signale nos favoris…). À vous de les découvrir !
Myra Melford
Ce mois-ci, puisqu’elle était de passage sur notre vieux continent, il faut impérativement s’intéresser à cette formidable musicienne qu’est la pianiste américaine Myra Melford.
Tiger Trio : Myra Melford, Nicole Mitchell & Joëlle Léandre – Paris le 12 novembre 2018.
Pierre Gros (de CultureJazz) a eu la chance de l’écouter au 19 rue Paul Fort, à Paris le lundi 12 novembre. Dans ce lieu des plus intimistes, Myra Melford était un des trois sommets du Tiger Trio dans lequel elle improvise en compagnie de deux musicienne tout aussi extraordinaires : la flûtiste de Chicago Nicole Mitchell et la contrebassiste parisienne (mais pas que !) Joëlle Léandre. Pierre en a écrit un compte-rendu formidable de concision et essentiel par les questions (la question !) qu’il pose… Je n’en dis pas plus. Lire ici, sur CultureJazz.fr !
Myra Melford Snowy Egret : « The Other Side Of Air » – Firehouse 12 records 2018
Pour rester avec Myra Melford, on ne manquera pas d’écouter le disque remarquable qui est paru cet automne. On peut l’écouter avec son quintet du nom de Snowy Egret (l’aigrette neigeuse…). Le disque s’intitule « The Other Side Of Air » et il est publié sur le remarquable label américain Firehouse 12 Records (suivre ce lien…).
On pourra lire ma chronique ici sur CultureJazz.fr : www.culturejazz.fr/Myra.Melford Ce disque, labellisé « OUI! » en tant que favori CultureJazz, peut être écouté, commandé en numérique ou acheté sous sa forme physique dans une édition « De Luxe » sur la page Bandcamp du label Firehouse 12, en suivant ce lien : firehouse12records.com/the-other-side-of-air.
Chez Hélène
Joëlle Léandre & Marc Ducret : « Chez Hélène » (Ayler Records 2018)
Restons au 19 rue Paul Fort (Paris) que nous évoquions plus haut (Tiger Trio) pour retrouver la contrebassiste Joëlle Léandre qui dialogue cette fois, en toute liberté, avec le guitariste Marc Ducret. Ça se passait « Chez Hélène » (le prénom de la propriétaire du lieu) le 13 mai dernier. On doit l’enregistrement de ce concert à Jean-Marc Foussat, incroyable collecteur de musiques vivantes autant qu’imprévisibles. Et c’est Stéphane Berland qui publie ce disque sur son label Ayler Records, une maison de disque dont le slogan est « Jamais pour la monnaie, toujours pour l’amour (de l’art et du travail bien fait) ». On ne peut que soutenir une telle passion ! Un disque à télécharger, écouter, acheter (album physique) sur la page Bandcamp du label, ici : ayler-records.bandcamp.com/chez_Hélène. Ref : Ayler Records – aylCD-154 (publié le 21 septembre 2018)
Après avoir présenté les ateliers « Mon ordi revit » organisés en novembre 2018 au Café Solidaire (Association Alternatives Solidaires) à Coutances (lire ici …), voyons en quoi consiste cette renaissance annoncée…
Nous allons (vous allez, les participants vont…) tester et sans doute installer une distribution Linux sur leur ordinateur. Une distribution, c’est le bloc moteur du PC avec en son cœur le noyau Linux commun aux différentes distributions (ou systèmes d’exploitation). C’est lui qui va remplacer Windows mais rassurez-vous, vous pourrez retrouver et réutiliser sans problèmes tous les documents réalisés avec votre machine « ancienne version » !
Il existe de nombreuses distributions. Nous en choisirons une parmi les plus faciles à utiliser par le « commun des utilisateurs » à savoir Linux Mint ou Ubuntu qui sont cousines (le monde Linux est une grande famille !). Le choix de la distribution qui conviendra à votre PC va dépendre des spécificités techniques de ce dernier, de sa « puissance » en particulier et de la quantité de mémoire vive dont il dispose. Il existe différentes variantes plus ou moins « légères » pour s’adapter aux différents types de machines et ça, c’est bien pratique ! Un choix qui dépendra aussi de vos envies de changement (ou non) dans vos habitudes. Linux Mint propose un bureau (page d’accueil du système) assez proche de l’organisation de Windows alors que Ubuntu dispose d’un bureau qui peut paraître plus insolite (avec un « dock » pour lancer les applications, un peu comme sur Mac).
Passer à Linux mais avec quoi ?
À quoi ressemblent ces distributions Linux ?
Linux Mint :
Linux Mint
Avec Linux, on entre dans une grande famille, je vous le disais. Linux Mint a été conçue sur la base de
Ubuntu (conçu sur la base de Debian !). Comprenez que Debian est une version robuste mais un peu complexe et que Ubuntu et Mint en sont des dérivés rendus très accessibles pour « l’utilisateur de base. » J’ai tendance actuellement à privilégier Linux Mint qui comporte un paquet de logiciels et de modules complémentaires très complet ne nécessitant que très peu d’ajouts pour être utilisable d’emblée. Voici une présentation vidéo pour voir un peu à quoi ça peut ressembler…
Le bureau de Linux Mint (qui s’appelle Cinnamon) est d’une utilisation facile.
Ubuntu
Avec ses origines en Afrique du Sud, Ubuntu est une distribution désormais britannique très réputée crée par la société Canonical de Mark Shuttleworth. Dans la philosophie sud-africaine, le mot ubuntu signifie « humanité », une manière de mettre en lumière une démarche résolument non-commerciale et tournée vers l’accès du plus grand nombre à de outils informatiques performants et gratuits (sans arrière-pensée commerciale cachée). Ubuntu propose de nouvelles versions de son système d’exploitation tous les six mois, en avril et en octobre. Tous les deux ans paraît en avril une version LTS (Long Term Support) qui bénéficie d’une maintenance garantie sur une durée de 5 ans (jusqu’en avril 2023 pour la 18.04). C’est cette version qu’il sera possible d’installer au cours de nos ateliers.
Le bureau de Ubuntu 18.04 avec son « dock » (à gauche) pour lancer les applications.
Voici une présentation vidéo de Ubuntu 18.04… (en anglais !) :
Comment ?
Une phase de test, sans risques…
Des DVDs ou des clés USB comportant une version de Linux Mint ou de Ubuntu en mode « Live » auront été préparés auparavant. Cela signifie que vous pourrez faire tourner le système d’exploitation sur votre PC sans rien installer afin de voir comment se présente ce nouveau système. Après cette phase d’essai, si tout est OK… et si vous êtes d’accord, on passe à l’installation…
Une installation plutôt rapide et simple…
Il suffira, depuis le bureau qui sera affiché sur l’écran de votre PC en mode « Live », de cliquer sur l’icône d’installation. C’est facile !
Il faudra s’assurer avant de démarrer que votre PC est bien connecté à internet (on aura prévu l’organisation matérielle pour cela) car l’installation va nécessiter quelques téléchargements supplémentaires qui se feront automatiquement. La seule chose que vous aurez à faire sera de compléter quelques champs de formulaires et de vérifier que tout se passe bien en cliquant quand on vous le demandera. De 15 et 30 minutes plus tard, selon votre machine, l’opération devrait être terminée.
Vous disposerez alors d’un « nouveau » PC portable prêt à fonctionner avec tout ce qu’il faut dedans pour l’utilisateur » de base » (logiciels de bureautique –LibreOffice…-, de graphisme –Gimp, etc.-, outils internet –Firefox, Thunderbird, son et vidéo –VLC Media Player, lecteur audio multiformats, Skype etc.-…et bien d’autres choses). Et tout cela gratuitement : elle n’est pas belle la vie dans le monde Linux ? Vous oublierez vite les antivirus et les mises en garde paranoïaques de Microsoft : il n’y en a pas besoin ici !
À savoir… c’est important !
1- Il faut impérativement sauvegarder vos données personnelles avant de participer à l’atelier ! Chez vous, transférez/copiez sur un disque dur externe, sur de « grosses » clés USB ou en gravant des CDs ou des DVDs (selon le volume de données) les contenus de vos dossiers d’images, vidéos, musiques, textes (souvent contenus dans « Mes Documents ») sans oublier ce que vous aurez pu placer sur votre bureau ! L’installation (si vous franchissez le pas) va effacer l’ensemble du disque dur de votre ordinateur, il faut le savoir et le prévoir en conséquence. Vous pourrez ensuite, tranquillement chez vous, effectuer le transfert inverse pour replacer vos fichiers dans votre nouveau système.
2- Dans de très rares cas, le « bios » (le système racine de votre PC) est verrouillé et l’installation d’un autre système que Windows n’est pas possible. On le saura lors du test avec le DVD ou la clé USB d’installation… Ce serait dommage (et c’est illégal car contraire à la loi interdisant la vente forcée qui ne permet pas de laisser le libre choix au consommateur). C’est aussi pour cela que vous devrez répondre à un questionnaires préalable portant sur votre appareil quelques jours avant la séance. S’il s’avère que l’installation n’est pas possible, vous serez informé(e)… (bien que ça vaille toujours le coup d’essayer, on ne sait jamais !).
3- Pas de panique ! Mais… avant de pouvoir utiliser le « live DVD » (ou USB), il faudra vérifier les paramètres de lancement de l’ordinateur (le »boot ») dans le bios. Ce sera une bonne occasion de voir comment on opère pour cela. Un geste technique assez simple qui nécessite parfois un peu de tâtonnement et supposera sans doute quelques extinctions/redémarrages. Tout se passera bien, n’ayez pas de crainte ! (enfin, on espère…)
À suivre…
ANNEXE :
Vous avez acheté votre PC avec Windows inclus car on ne vous a pas laissé le choix ni proposé d’autres solutions. C’est tout le problème de la vente liée / forcée qui se pose là. À ce propos, vous pourrez lire « La vente liée ordinateur/logiciels » sur le site de l’APRIL (Association qui a pour but de promouvoir et défendre le logiciel libre) – Synthèse du 21 septembre 2011
Ah ! Les feuilles mortes ! Elles sont belles, elles volent au vent et se posent délicatement sur le sol pour composer un merveilleux tapis et s’envoler au moindre coup de vent… Et ça énerve le jardinier méticuleux qui aime voir son jardin « propre », net, coquet, admirable (par le passant envieux)… et sans ces satanées feuilles qui sont pourtant une composante essentielle dans le cycle de la vie et le renouvellement de l’humus.